"La contrainte à laquelle nous avons dû faire face, c'est que les fabricants de systèmes de chauffage ne s'adaptaient pas à notre configuration. Il a donc fallu reprendre des éléments existants pour parvenir à notre fin", explique l'architecte Martin Lefèvre à Batiactu. "L'alimentation des lustres s'effectue donc par les combles et le chauffage est bien réparti dans tout l'édifice. Celui-ci n'est donc pas impacté par ces nouvelles installations." Le courant électrique, et donc par extension le fonctionnement des lustres, n'est toutefois activé que lors des cérémonies cultuelles ou autres manifestations.

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