L'entreprise qui réalise les travaux terminera la première tour, qui rassemble 152 logements, d'ici à la fin de 2016, tandis que le montage des rails verticaux supportant les plateformes de travail a déjà commencé sur l'autre immeuble. Les travaux devraient débuter sur cette seconde tour au début de 2017, avec, cette fois, plus de 200 logements à isoler. "L'ancrage des mono-mâts se fait dans la lame d'air avec des pattes de fixation amovibles qui sont rabattues sous le bardage lors du démontage des mâts, une bavette de finition venant recouvrir l'espace", détaille Claire Lalanne, l'architecte, soucieuse de l'aspect extérieur des cassettes métalliques. Les spécialistes de l'élévation précisent que, pour certaines zones difficiles à atteindre en raison des terrasses et décrochement, six plateformes suspendues ont également été utilisées. Cependant, les mono-mâts pourraient, sans souci, atteindre des hauteurs extrêmes, de l'ordre de 160 à 200 mètres.
Un petit îlot rénové et surélevé de deux étages pour créer 70 logements étudiants
