Pour la quatrième année consécutive, les mises en chantier ont atteint le niveau élevé de 303.000 logements en 2002. Les autorisations de construire ont légèrement fléchi sur l'année (-0,8%) mais ont rebondi au 4ème trimestre.
Selon une étude du ministère de l'Equipement parue mardi 28 janvier 2003, les mises en chantier de logements ont atteint 303.000 en 2002, un niveau resté élevé pour la quatrième année consécutive et stable (+0,1%) par rapport à 2001, alors qu'on enregistrait ne baisse régulière depuis 1999.
Au 4ème trimestre 2002, les mises en chantier ont baissé de 2,3% par rapport au 4ème trimestre 2001, suite à une diminution des maisons individuelles de 4,2% et des logements en résidence de 1,5%, malgré une reprise des logements collectifs (+1,6%).
Sur l'ensemble de 2002, les mises en chantier de logements collectifs et de maisons individuelles ont augmenté de 0,6%, mais celles de logements en résidence ont chuté de 14,8%.
En ce qui concerne les autorisations de construire de logements, elles ont fléchi sur l'ensemble de l'année 2002 (-0,8%) mais sont restées à un haut niveau, à près de 351.000 logements.
Ce total comprend une hausse de 0,5% des maisons individuelles (à 214.000) mais un recul de 1,6% des logements en immeuble collectif (à 124.000) et surtout une baisse de 14,7% des logements en résidence, à 12.300. La surface moyenne des maisons autorisées a légèrement augmenté.
Au 4ème trimestre 2002, les autorisations avaient cependant rebondi de 1,2% mais avec une baisse de 2% pour les logements en immeuble collectif et de 8,7% pour les logements en résidence. A l'inverse les maisons ont progressé, avec +1,3% pour celles en secteur diffus et +15,4% pour celles en permis groupé.
Par région, les autorisations de logements en 2002 ont marqué une forte baisse en Ile-de-France (-20,3%) et dans le Nord-Pas de Calais (-11,8%) mais augmenté dans la plupart des autres régions.
Dans le non-résidentiel, les mises en chantier en 2002 se sont réduites de 6,6%, à 38,5 millions de m2, une contraction qui frappe surtout les bâtiments industriels (-9,6%, à 9 millions de m2) et les immeubles de bureaux (-20,6% à 3,5 millions de m2), ainsi que les constructions agricoles (-7,7%). Les commerces reculent de -0,8% à 4 millions de m2.
Les autorisations de construire dans le secteur non-résidentiel ont chuté de 10,7% en 2002, avec une baisse de 22,3% pour les bureaux, de 13,7% pour les bâtiments industriels et de 11% pour les constructions agricoles.
Les autorisations d'équipement collectifs d'hygiène et d'action sociale ont diminué de 20,4% et les hôtels et motels de 11,4%.
Au 4ème trimestre les surfaces autorisées de locaux non-résidentiels ont reculé de 8,6%, essentiellement pour les locaux industriels, les bureaux, les bâtiments agricoles, et les mise en chantier ont baissé de 8,3%, à 9,7 millions de m2, avec une baisse marquée pour les bâtiments industriels et les bureaux, revenus au niveau de 1999.
Au 4ème trimestre 2002, les mises en chantier ont baissé de 2,3% par rapport au 4ème trimestre 2001, suite à une diminution des maisons individuelles de 4,2% et des logements en résidence de 1,5%, malgré une reprise des logements collectifs (+1,6%).
Sur l'ensemble de 2002, les mises en chantier de logements collectifs et de maisons individuelles ont augmenté de 0,6%, mais celles de logements en résidence ont chuté de 14,8%.
En ce qui concerne les autorisations de construire de logements, elles ont fléchi sur l'ensemble de l'année 2002 (-0,8%) mais sont restées à un haut niveau, à près de 351.000 logements.
Ce total comprend une hausse de 0,5% des maisons individuelles (à 214.000) mais un recul de 1,6% des logements en immeuble collectif (à 124.000) et surtout une baisse de 14,7% des logements en résidence, à 12.300. La surface moyenne des maisons autorisées a légèrement augmenté.
Au 4ème trimestre 2002, les autorisations avaient cependant rebondi de 1,2% mais avec une baisse de 2% pour les logements en immeuble collectif et de 8,7% pour les logements en résidence. A l'inverse les maisons ont progressé, avec +1,3% pour celles en secteur diffus et +15,4% pour celles en permis groupé.
Par région, les autorisations de logements en 2002 ont marqué une forte baisse en Ile-de-France (-20,3%) et dans le Nord-Pas de Calais (-11,8%) mais augmenté dans la plupart des autres régions.
Dans le non-résidentiel, les mises en chantier en 2002 se sont réduites de 6,6%, à 38,5 millions de m2, une contraction qui frappe surtout les bâtiments industriels (-9,6%, à 9 millions de m2) et les immeubles de bureaux (-20,6% à 3,5 millions de m2), ainsi que les constructions agricoles (-7,7%). Les commerces reculent de -0,8% à 4 millions de m2.
Les autorisations de construire dans le secteur non-résidentiel ont chuté de 10,7% en 2002, avec une baisse de 22,3% pour les bureaux, de 13,7% pour les bâtiments industriels et de 11% pour les constructions agricoles.
Les autorisations d'équipement collectifs d'hygiène et d'action sociale ont diminué de 20,4% et les hôtels et motels de 11,4%.
Au 4ème trimestre les surfaces autorisées de locaux non-résidentiels ont reculé de 8,6%, essentiellement pour les locaux industriels, les bureaux, les bâtiments agricoles, et les mise en chantier ont baissé de 8,3%, à 9,7 millions de m2, avec une baisse marquée pour les bâtiments industriels et les bureaux, revenus au niveau de 1999.