La Société libanaise pour le développement et la reconstruction du centre-ville de Beyrouth, Solidere, a enregistré un bénéfice de 1,9 million de dollars en 2001 contre 31,7 millions de dollars de pertes en 2000.
Dans un communiqué, la Solidere attribue ses profits, quoique modestes, à la reprise de la demande immobilière et à la publication en juin 2001 d'un décret-loi modifiant un plan directeur, qui a réactivé l'octroi de permis de construire.
Elle précise avoir vendu des terrains et des biens immobiliers pour 77,5 millions de dollars et engrangé 10,1 millions de dollars de la location de bureaux, de fonds de commerce et d'appartements.
Solidere, qui avait misé sur une ruée des ressortissants du Golfe et d'investisseurs étrangers dans ce qui fût avant la guerre (1975-1990) un centre financier et commercial régional, a pâti d'une mauvaise conjoncture politique au Proche-Orient et de la dégradation des activités économiques au Liban.
Elle précise avoir vendu des terrains et des biens immobiliers pour 77,5 millions de dollars et engrangé 10,1 millions de dollars de la location de bureaux, de fonds de commerce et d'appartements.
Solidere, qui avait misé sur une ruée des ressortissants du Golfe et d'investisseurs étrangers dans ce qui fût avant la guerre (1975-1990) un centre financier et commercial régional, a pâti d'une mauvaise conjoncture politique au Proche-Orient et de la dégradation des activités économiques au Liban.
