FONCIER. L'ancien ministre du Logement et actuel président du promoteur Emerige appelle les politiques à "assumer les politiques de densité", seules à même de répondre aux besoins tout en respectant le Zéro artificialisation nette.


La présentation du rapport de l'Observatoire régional du foncier (ORF) sur la sobriété foncière et le développement urbain en Ile-de-France a été l'occasion, le 10 novembre, d'un débat sur la densité et son acceptabilité sociale. Regards croisés entre Benoist Apparu, ancien ministre, qui a présidé à la rédaction du rapport, et deux dirigeantes d'agences d'architecture et d'urbanisme, Magali Volkwein, associée et directrice de l'agence D&A, et Gwenaëlle d'Aboville, urbaniste associée de l'agence Ville ouverte.

 

Le contexte francilien en matière de consommation foncière, est très différent du reste du pays. Comme le rappelle le rapport de l'ORF, ainsi que la directrice régionale et interdépartementale de l'environnement, de l'aménagement et des transports (Drieat) Emmanuelle Gay, qui a introduit le colloque, la région capitale fait preuve d'une "efficience assez extraordinaire par rapport aux autres régions" en termes de consommation foncière par habitant accueilli ou nombre d'emplois créés.
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