RENOUVELABLES. La consigne donnée fin septembre par le Gouvernement aux préfets de faire passer le traitement des dossiers d'énergies renouvelables, et particulièrement de parcs éoliens terrestres, à la vitesse supérieure, est visiblement restée lettre morte. Selon les professionnels de la filière, la France a pourtant besoin de ces capacités supplémentaires pour réaliser sa transition énergétique.


La consigne n'a visiblement pas vraiment été suivie d'effets. Fin septembre, le Gouvernement a enjoint les préfets d'accélérer le traitement des dossiers d'énergies renouvelables (ENR), et plus particulièrement de parcs éoliens terrestres. Deux mois plus tard, les professionnels de la filière jugent que l'ordre donné aux représentants de l'État dans les départements est resté sans effet.

 

 

"Il n'y a eu aucune accélération, aucun soubresaut même", assure Michel Gioria, le délégué général de France Énergie Éolienne (FEE), l'association regroupant les entreprises spécialisées dans les aérogénérateurs.
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