Le Centre suisse d'électronique et microtechnique (CSEM) de Neuchâtel travaillait, en 2015, à l'élaboration de capteurs solaires infrarouges dont les coloris ne seraient plus sombres. Là encore, c'est l'ajout d'un revêtement polymère qui permet de maquiller les modules photovoltaïques. "Le blanc représente la couleur la plus recherchée en raison de son élégance, de sa polyvalence et sa fraîcheur", précisaient les ingénieurs helvètes. Mais le film nanotechnologique employé pourrait être décliné dans différents coloris, allant de l'orangé au rouge brique. Une avancée certaine dans le domaine de l'intégration visuelle des capteurs qui aurait l'avantage supplémentaire de faire baisser la température de leur fonctionnement. Revers de la médaille, là encore, le rendement plafonne à 10 %, moitié moins que les panneaux classiques, alors que le coût est supérieur (de 1,5 à 2 fois le prix).

 

 

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