Si vous êtes étudiant en architecture et que le thème des «Utopies concrètes» vous inspire, vous pouvez répondre à cet appel à contributions destiné à l’exposition du pavillon français à Venise.
Voici le communiqué : le présent appel à contributions a pour objectif de recueillir des propositions, idées, concepts, solutions architecturales, paysagères, urbaines, techniques et fonctionnelles, élaborées par les étudiants des écoles d’architecture françaises, appliquées au même site que les ateliers qui seront exposés dans le pavillon français lors de la 9e Biennale internationale d’architecture de Venise, et destinées à contribuer à générer une ville «durable».
L’échelle de réflexion est libre, depuis l’objet jusqu’à l’aménagement urbain de grande dimension, en passant par une proposition de façade, un logement, un aménagement localisé, un système de transport. Les contributions doivent seulement pouvoir devenir des «utopies concrètes», c’est-à-dire réalisables demain si le développement durable était un objectif prioritaire des projets d¹architecture et d’urbanisme.
S’inspirant, ou non, des thèmes abordés dans les ateliers du pavillon français, les contributions devront présenter la problématique dans laquelle elles s’inscrivent, les objectifs privilégiés, leur intégration dans la démarche de développement durable. Elles doivent prendre en compte notamment les technologies existantes ou en cours de développement.
Les meilleures d’entre elles (voir règlement de l’appel à contributions) seront présentées dans l’exposition du pavillon français (12 septembre au 7 novembre), dont la commissaire est l’architecte Françoise-Hélène Jourda.
Le territoire proposé comme le support d’application des contributions, qui est le même que celui des ateliers, est de dimensions rectangulaires, de 1800 mètres de longueur par 800 mètres de largeur et d’une surface d’environ 144 hectares. Il est situé sur les communes de Paris, Aubervilliers et Saint-Denis.
À l’ouest, à Paris dans le XVIIIe arrondissement, le site est bordé par la rue de la Chapelle qui se prolonge, à Saint-Denis, par l¹autoroute A1. Au nord, le territoire s’étend sur les communes de Saint-Denis et d’Aubervilliers en incluant une emprise foncière de la Compagnie EMGP. À l’est, le site est coupé au droit de la Porte d’Aubervilliers, sans l¹inclure dans le périmètre d¹études. Au sud, passé le périphérique, à Paris, le territoire s¹étend au-delà des emprises ferroviaires de la SNCF.
Le site englobe des terrains d’affectation très diverses : activités (stockages, bureaux, studios de télévision dans la partie appartenant à la compagnie EMGP), quelques logements, surtout au sud du périphérique, des terrains de sport, un cimetière et surtout de grandes infrastructures telles que le périphérique lui-même, l¹autoroute A1 et les voies SNCF.
Une photo aérienne du site et un reportage photographique sont mis à disposition des étudiants.
Pour en savoir plus : www.archi.fr/utopies-concretes
L’échelle de réflexion est libre, depuis l’objet jusqu’à l’aménagement urbain de grande dimension, en passant par une proposition de façade, un logement, un aménagement localisé, un système de transport. Les contributions doivent seulement pouvoir devenir des «utopies concrètes», c’est-à-dire réalisables demain si le développement durable était un objectif prioritaire des projets d¹architecture et d’urbanisme.
S’inspirant, ou non, des thèmes abordés dans les ateliers du pavillon français, les contributions devront présenter la problématique dans laquelle elles s’inscrivent, les objectifs privilégiés, leur intégration dans la démarche de développement durable. Elles doivent prendre en compte notamment les technologies existantes ou en cours de développement.
Les meilleures d’entre elles (voir règlement de l’appel à contributions) seront présentées dans l’exposition du pavillon français (12 septembre au 7 novembre), dont la commissaire est l’architecte Françoise-Hélène Jourda.
Le territoire proposé comme le support d’application des contributions, qui est le même que celui des ateliers, est de dimensions rectangulaires, de 1800 mètres de longueur par 800 mètres de largeur et d’une surface d’environ 144 hectares. Il est situé sur les communes de Paris, Aubervilliers et Saint-Denis.
À l’ouest, à Paris dans le XVIIIe arrondissement, le site est bordé par la rue de la Chapelle qui se prolonge, à Saint-Denis, par l¹autoroute A1. Au nord, le territoire s’étend sur les communes de Saint-Denis et d’Aubervilliers en incluant une emprise foncière de la Compagnie EMGP. À l’est, le site est coupé au droit de la Porte d’Aubervilliers, sans l¹inclure dans le périmètre d¹études. Au sud, passé le périphérique, à Paris, le territoire s¹étend au-delà des emprises ferroviaires de la SNCF.
Le site englobe des terrains d’affectation très diverses : activités (stockages, bureaux, studios de télévision dans la partie appartenant à la compagnie EMGP), quelques logements, surtout au sud du périphérique, des terrains de sport, un cimetière et surtout de grandes infrastructures telles que le périphérique lui-même, l¹autoroute A1 et les voies SNCF.
Une photo aérienne du site et un reportage photographique sont mis à disposition des étudiants.
Pour en savoir plus : www.archi.fr/utopies-concretes
