DPE. En modifiant le coefficient d'énergie primaire (CEP) de l'électricité dans le DPE, le gouvernement pourrait bien retirer plus de 800.000 logements du champ de la rénovation énergétique. Une mesure "trompe-l'œil" pour les industriels du BTP.
Les industriels du secteur de la construction ne s'y trompent pas : retirer plus de 800.000 logements du statut de passoires thermiques, et donc du marché de la rénovation énergétique, n'est pas une bonne nouvelle pour eux. C'est pourtant l'objectif visé par le gouvernement dans la baisse de 2,3 à 1,9 du coefficient d'énergie primaire de l'électricité (CEP) dans le DPE, programmée pour le 1er janvier 2026. "Cette évolution apparaît comme un instrument discret de désengagement budgétaire des aides à la rénovation",
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