La toiture, dite hyperboloïde, en forme de selle de cheval, a été volontairement préservée, notamment pour garder l'esprit originel de l'édifice. Elle repose sur un réseau de câbles et sur un bac métallique. "C'est une toiture très efficace, fine et légère, typique des années 1970. Nous avons souhaité la garder, tout comme la structure métallique, en les renforçant et en les adaptant aux exigences d'aujourd'hui", précise Daniel Vaniche.
Une préservation de la toiture qui a aussi des avantages sur le plan environnemental. "Si nous avions tout rasé, le bilan carbone aurait été catastrophique. En gardant la toiture, nous avons aussi réalisé une importante économie de matière", ajoute le professionnel. Un isolant acoustique a par ailleurs été ajouté à la toiture, ainsi qu'à la façade.