Venant se nicher entre deux imposants immeubles des années 70-80, ce projet se veut une suture du tissu urbain boulonnais.
L'écriture architecturale, "sobre et lisible", affiche un socle en brique qui "permet la continuité visuelle avec les héberges", tandis que l'enduit à la chaux dialogue avec la pierre calcaire très présente dans le paysage de la ville.
Le projet s'articule autour d'un pallier desservant deux logements par niveau (deux T2 ou T1+T3) avec des cuisines ouvertes sur le séjour permettant de consacrer le linéaire de façade aux pièces principales, les dotant d'un ensoleillement maximal. Au dernier niveau, deux duplex T3 et T5 se partagent une terrasse à la vue dégagée sur Boulogne et son bois.
Le rapport à la rue est "particulièrement soigné", affirment les concepteurs. Les équipements associés à l'entrée sont bien intégrés (coffrets concessionnaires, boîte aux lettres, éventuels espaces de stockage, etc.). Le plan masse permet des liaisons faciles entre les différents espaces tout en assurant intimité et tranquillité du locataire (vis à vis des voisins et de la rue).
De nouveaux immeubles, réversibles et mixtes, vont pousser à La Défense
