C'est justement la perspective des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 qui a permis de concrétiser le projet. Mais cela entraîne une contrainte non-négligeable : le chantier fait l'objet d'un planning serré. "Nous ne pouvons pas arriver en retard, confirme Benoît Facq. Nous avons jusqu'à fin 2023 pour déposer les pylônes situés sur le village olympique, pour pouvoir aménager la future place."

 

C'est aussi cette contrainte de calendrier qui a déterminé le choix de la technique à utiliser pour enfouir les lignes. Car il ne fallait pas perdre de temps. La plus adaptée n'était pourtant ni la plus simple, ni la plus courante… loin de là.

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