Les architectes du projet, dont le cabinet Ilimelgo, ont pensé la disposition, les volumes et les matériaux pour maximiser l'apport de lumière naturelle, avec un projet qui se déploie sur deux ailes reliées par un atrium central. L'idée était de réduire au maximum l'impact de la consommation d'énergie du bâtiment. Hormis les éclairages de secours, le projet "ne dispose d'aucun éclairage artificiel", explique Valérian Amalric, l'architecte d'Ilimelgo. Deux raisons à cela, nous confie-t-il : "Tout d'abord pour réduire autant que possible les dépenses énergétiques mais aussi pour que cet édifice n'agisse pas comme une 'lampe' pour le voisinage". "Le volet maintenance est important", ajoute-t-il d'ailleurs. Il s'agit "de ne pas faire de dépenses inutiles mais de concevoir un bâtiment qui soit le plus autonome possible".

 

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