Lafarge Ciments a inauguré vendredi son usine de broyage de laitier à Brassens, sur le Port de Bordeaux. Montant de l'investissement : 20 millions d'euros.
Ce nouvel investissement «illustre la politique dynamique d'investissements de Lafarge Ciments en France», raconte Lafarge dans un communiqué.
La nouvelle usine pour fabriquer du ciment à Bassens a permis de créer 10 emplois directs et indirects, va permettre de broyer 300.000 tonnes de laitier par an (déchet issu de la production d'acier). En utilisant le laitier dans la fabrication du ciment, l'usine de Bassens utilise un procédé qui «permet de réduire les émissions de CO2, liées au processus de fabrication de ciment», explique Lafarge. Il permet également de «faciliter l'élimination de sous-produits industriels en les valorisant directement dans le processus de fabrication du ciment». Selon Lafarge, l'ensemble du dispositif logistique de l'usine «permet d'économiser 250.000 tonnes de CO2 par an». En outre, l'installation sur le port «privilégie les transports maritimes et ferroviaires» et «contribue à la réduction du transport routier».
Lafarge a investi plus de 150 millions d'euros en deux ans pour moderniser et développer son dispositif industriel en France. Deux autres projets d'usine du même type que celle de Bassens sont à l'étude sur les ports de Sète (Hérault) et Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône).
La nouvelle usine pour fabriquer du ciment à Bassens a permis de créer 10 emplois directs et indirects, va permettre de broyer 300.000 tonnes de laitier par an (déchet issu de la production d'acier). En utilisant le laitier dans la fabrication du ciment, l'usine de Bassens utilise un procédé qui «permet de réduire les émissions de CO2, liées au processus de fabrication de ciment», explique Lafarge. Il permet également de «faciliter l'élimination de sous-produits industriels en les valorisant directement dans le processus de fabrication du ciment». Selon Lafarge, l'ensemble du dispositif logistique de l'usine «permet d'économiser 250.000 tonnes de CO2 par an». En outre, l'installation sur le port «privilégie les transports maritimes et ferroviaires» et «contribue à la réduction du transport routier».
Lafarge a investi plus de 150 millions d'euros en deux ans pour moderniser et développer son dispositif industriel en France. Deux autres projets d'usine du même type que celle de Bassens sont à l'étude sur les ports de Sète (Hérault) et Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône).
