L'existence du réseau permet notamment de mutualiser les systèmes de production du froid et assurer ainsi le niveau de service attendu par les clients. "La solution est transposable aux villes de bord de mer, comme Marseille, Monaco, Barcelone… Il faut un tissu tertiaire dense et, si possible, que l'intégration du réseau soit prévue par les urbanistes pour éviter de trop gros travaux de voirie", explique le directeur général adjoint. A Paris, 60 % des conduites de froid empruntent les égouts et 40 % sont enterrées à part.

 

Le contrat parisien de Climespace, d'une durée de 30 ans, prendra fin en 2021. Pour l'heure, aucune construction nouvelle de centrale de froid n'est prévue, même si les problématiques de montée des températures et de lutte contre les îlots de chaleur urbains se font plus présentes.

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