MOBILITÉ. Avant de prendre les rênes de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France, l'ancien Premier ministre Jean Castex a été entendu par les commissions développement durable de l'Assemblée nationale et du Sénat. Des grands oraux au cours desquels certains parlementaires lui ont demandé de rendre des comptes sur des décisions prises alors qu'il dirigeait le gouvernement.


Alors qu'il s'apprête à endosser le rôle de président de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit France), l'ancien Premier ministre Jean Castex a dû s'expliquer sur son bilan à la tête du gouvernement en matière de mobilité devant les parlementaires. C'est surtout lors de son audition à l'Assemblée nationale qu'il a dû répondre à quelques critiques, qu'il a ensuite anticipé devant les sénateurs. Une occasion de vanter le parcours accompli, tout en reconnaissant "qu'il reste encore beaucoup à faire" sur le sujet.

 

"Une dynamique a été insufflée, mais elle est insuffisante, je le reconnais volontiers", a-t-il ainsi consenti. Parmi les aspects positifs, il a tenu à rappeler notamment que "le niveau d'engagement et les dépenses réalisées n'ont jamais été aussi élevée dans l'histoire de l'agence". Insistant sur le fait que "les deux exercices passés - 2020 et 2021 - s'inscrivent dans une période faste pour l'Afit France. Ce n'était pourtant pas gagné", a-t-il assuré.
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