Des militants de l'association Droit au logement (DAL), ont cherché en vain mercredi à Paris le secrétariat d'Etat au Logement afin d'offrir sa première occupation de mal logés à son nouvel occupant, Marc-Philippe Daubresse, dont les locaux sont restés introuvables.
Après avoir consulté le site internet de Matignon (www.premier-ministre.gouv.fr), les manifestants ont envahi en début d'après-midi le 3, place de Fontenoy, adresse indiquée pour les services des deux ministres délégués et trois secrétaires d'Etat rattachés au ministre de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo.
A leur grande surprise, on leur a expliqué à l'accueil qu'ils se trouvaient chez le ministre délégué au Tourisme Léon Bertrand et que Marc-Philippe Daubresse n'habitait pas plus à l'adresse indiquée que Gérard Larcher (Relations du Travail), Nelly Olin (lutte contre la précarité et l'exclusion), Laurent Hénart (insertion professionnelle des jeunes) et Catherine Vautrin (Intégration et égalité des chances).
Comme l'a expérimenté l'AFP, le numéro indiqué sur le site du Premier ministre pour joindre le secrétariat au Logement n'est pas plus utile. Il aboutit au ministère de l'Equipement, des Transports, de l'Aménagement du territoire, du Tourisme et de la Mer. "Il faudrait dire à Matignon de se mettre à la page", explique une standardiste.
Appeler le ministère de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale, au 127 rue de Grenelle se solde par un échec tout aussi cuisant: "Dans l'immédiat ils (les services de M. Daubresse) ne sont pas joignables téléphoniquement". Et quand sera-t-il possible de les appeler? "On saura ça dans deux jours", répond cette standardiste.
Serviable, elle confie qu'elle a entendu dire que l'équipe du secrétariat d'Etat au Logement s'installait au 101, rue de Grenelle, dans les anciens locaux du ministre délégué à l'Enseignement scolaire, Xavier Darcos. Un appel à l'ancien numéro de Xavier Darcos fait chou blanc. Une standardiste, agent de l'Education nationale cette fois, laisse sonner: "Cela ne répond pas pour l'instant. Ils doivent être en plein déménagement. Il faut réessayer la semaine prochaine".
Faute d'avoir trouvé le secrétariat d'Etat au Logement, les militants du DAL ont décroché un rendez-vous avec des conseillers de Jean-Louis Borloo. Mais, ont-ils promis, dès qu'il aura des locaux fixes, Marc-Philippe Daubresse recevra leur visite.
A leur grande surprise, on leur a expliqué à l'accueil qu'ils se trouvaient chez le ministre délégué au Tourisme Léon Bertrand et que Marc-Philippe Daubresse n'habitait pas plus à l'adresse indiquée que Gérard Larcher (Relations du Travail), Nelly Olin (lutte contre la précarité et l'exclusion), Laurent Hénart (insertion professionnelle des jeunes) et Catherine Vautrin (Intégration et égalité des chances).
Comme l'a expérimenté l'AFP, le numéro indiqué sur le site du Premier ministre pour joindre le secrétariat au Logement n'est pas plus utile. Il aboutit au ministère de l'Equipement, des Transports, de l'Aménagement du territoire, du Tourisme et de la Mer. "Il faudrait dire à Matignon de se mettre à la page", explique une standardiste.
Appeler le ministère de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale, au 127 rue de Grenelle se solde par un échec tout aussi cuisant: "Dans l'immédiat ils (les services de M. Daubresse) ne sont pas joignables téléphoniquement". Et quand sera-t-il possible de les appeler? "On saura ça dans deux jours", répond cette standardiste.
Serviable, elle confie qu'elle a entendu dire que l'équipe du secrétariat d'Etat au Logement s'installait au 101, rue de Grenelle, dans les anciens locaux du ministre délégué à l'Enseignement scolaire, Xavier Darcos. Un appel à l'ancien numéro de Xavier Darcos fait chou blanc. Une standardiste, agent de l'Education nationale cette fois, laisse sonner: "Cela ne répond pas pour l'instant. Ils doivent être en plein déménagement. Il faut réessayer la semaine prochaine".
Faute d'avoir trouvé le secrétariat d'Etat au Logement, les militants du DAL ont décroché un rendez-vous avec des conseillers de Jean-Louis Borloo. Mais, ont-ils promis, dès qu'il aura des locaux fixes, Marc-Philippe Daubresse recevra leur visite.
