Le président UMP (ex-DL) du conseil régional du Languedoc-Roussillon a proposé lundi 16 septembre un nouvelle participation financière de la région pour accélérer la réalisation du tronçon Montpellier-Perpignan dans le cadre du TGV Méditerranée.
Depuis son lancement commercial, le 10 juin 2001, le TGV Méditerranée est un véritable succès, tant par son trafic que par les différents impacts qu'il a eu. Si bien que les villes qui restent pour l'instant hors de son circuit s'impatientent.
Le conseil régional, qui avait déjà mobilisé deux millions d'euros dans le financement des études dites d'avant projet sommaire, est disposé à " apporter des financements " pour ce tronçon. Pour l'instant, aucun chiffre n'a été évoqué, ce qui laisse présager que des négociations devraient avoir lieu.
Lors d'une réunion avec les députés et les sénateurs UMP de la région, Jacques Blanc a également promis de mettre en place avec la Safer (Société d'aménagement foncier et d'établissement rural) " les mesures nécessaires pour l'acquisition des terrains actuellement gelés, situés sur le tracé relevant du projet d'intérêt général ".
Les retombées économiques du passage du TGV Méditerranée pour la région Languedoc-Roussillon doivent justifier cet engouement du conseil régional qui semble prêt à remettre la main à la poche.
Le conseil régional, qui avait déjà mobilisé deux millions d'euros dans le financement des études dites d'avant projet sommaire, est disposé à " apporter des financements " pour ce tronçon. Pour l'instant, aucun chiffre n'a été évoqué, ce qui laisse présager que des négociations devraient avoir lieu.
Lors d'une réunion avec les députés et les sénateurs UMP de la région, Jacques Blanc a également promis de mettre en place avec la Safer (Société d'aménagement foncier et d'établissement rural) " les mesures nécessaires pour l'acquisition des terrains actuellement gelés, situés sur le tracé relevant du projet d'intérêt général ".
Les retombées économiques du passage du TGV Méditerranée pour la région Languedoc-Roussillon doivent justifier cet engouement du conseil régional qui semble prêt à remettre la main à la poche.
