Selon le cabinet Insignia Bourdais, les investissements réalisés dans l'immobilier d'entreprise en France en 2001 ont atteint 12 milliards d'euros, soit une augmentation de plus de 35% par rapport à l'année 2000.
"Ce chiffre constitue un nouveau record historique", a déclaré Jean-Claude Bourdais, président-directeur général du groupe Insignia Bourdais, commentant les données Immostat, un GIE regroupant les cinq principaux conseils en immobilier d'entreprise.
L'année 2001 a été notamment marquée par "les externalisations de patrimoine" par de grands propriétaires français, notamment les ventes d'une partie de leur patrimoine par France Telecom pour près de 3 milliards d'euros, par Thales (480 millions d'euros) et par EDF (534 millions d'euros).
Pour 2002, le marché de l'investissement en immobilier d'entreprise devrait avoir "une configuration assez proche de celle observée en 2001" et le volume des engagements a "de fortes chances de rester élevé".
Si la morosité économique pèsera "inévitablement" sur le dynamisme du marché de l'investissement en immobilier d'entreprise, "son impact devrait rester limité" indique Jean-Claude Bourdais.
Dans l'investissement immobilier, les étrangers ont accru l'an dernier leurs acquisitions sur le marché français et sont à l'origine de 68% des engagements pour un montant total de 8,2 milliards d'euros. Les Nord-américains et les Allemands sont en tête de liste avec respectivement 55% et 32% des engagements d'origine étrangère.
Les Français, essentiellement des institutionnels (sociétés foncières, groupes bancaires et compagnies d'assurances...), ont engagé 3,8 milliards d'euros en 2001.
Côté vendeurs, les Français sont à l'origine de 82% du total des ventes.
Concernant les taux de rendement, la légère remontée constatée en 2000 s'est confirmée pour les bureaux l'an dernier. Dans les quartiers d'affaires de Paris, ils se situaient entre 6 et 6,5%, à la Défense entre 6,5% et 7% et dans les métropoles régionales entre 8 et 9%.
L'année 2001 a été notamment marquée par "les externalisations de patrimoine" par de grands propriétaires français, notamment les ventes d'une partie de leur patrimoine par France Telecom pour près de 3 milliards d'euros, par Thales (480 millions d'euros) et par EDF (534 millions d'euros).
Pour 2002, le marché de l'investissement en immobilier d'entreprise devrait avoir "une configuration assez proche de celle observée en 2001" et le volume des engagements a "de fortes chances de rester élevé".
Si la morosité économique pèsera "inévitablement" sur le dynamisme du marché de l'investissement en immobilier d'entreprise, "son impact devrait rester limité" indique Jean-Claude Bourdais.
Dans l'investissement immobilier, les étrangers ont accru l'an dernier leurs acquisitions sur le marché français et sont à l'origine de 68% des engagements pour un montant total de 8,2 milliards d'euros. Les Nord-américains et les Allemands sont en tête de liste avec respectivement 55% et 32% des engagements d'origine étrangère.
Les Français, essentiellement des institutionnels (sociétés foncières, groupes bancaires et compagnies d'assurances...), ont engagé 3,8 milliards d'euros en 2001.
Côté vendeurs, les Français sont à l'origine de 82% du total des ventes.
Concernant les taux de rendement, la légère remontée constatée en 2000 s'est confirmée pour les bureaux l'an dernier. Dans les quartiers d'affaires de Paris, ils se situaient entre 6 et 6,5%, à la Défense entre 6,5% et 7% et dans les métropoles régionales entre 8 et 9%.
