Malgré la détérioration de la conjoncture, le numéro un allemand du bâtiment, le groupe Hochtief, continue à tabler sur un léger bénéfice net cette année.
"Nous continuons à être optimistes, nous en restons à notre pronostic" du 23 août, dans lequel le groupe avait indiqué que son résultat net 2001 serait "considérablement inférieur" à celui de 2000 mais néanmoins positif, a déclaré à l 'AFP une source proche de la direction de l'entreprise.
Au premier semestre, Hochtief avait essuyé une perte nette de 52,7 millions d'euros, mais l'an dernier, il avait dégagé un bénéfice après impôts de 127 millions d'euros.
Par ailleurs, dans une interview publiée mardi par le quotidien Financial Times Deutschland, le président du directoire de Hochtief Hans-Peter Keitel n'a pas évoqué les résultats de l'exercice 2001 mais s'est montré optimiste pour 2002.
"Nous avons des raisons précises de croire que l'effondrement que nous avons connu sur le marché intérieur (allemand) de la construction cette année, ne se reproduira pas en 2002", a-t-il dit.
M. Keitel a reconnu que le cours de l'action de son groupe était "fondamentalement sous-évalué", ce qui aux yeux des analystes en fait une proie potentielle pour une offre hostile. Mais le responsable s'est élevé contre une telle perspective. "Nous pensons qu'une fusion avec un concurrent ne résoudrait pas nos problèmes car ces derniers sont liés à la structure de notre marché", a-t-il fait valoir.
Au premier semestre, Hochtief avait essuyé une perte nette de 52,7 millions d'euros, mais l'an dernier, il avait dégagé un bénéfice après impôts de 127 millions d'euros.
Par ailleurs, dans une interview publiée mardi par le quotidien Financial Times Deutschland, le président du directoire de Hochtief Hans-Peter Keitel n'a pas évoqué les résultats de l'exercice 2001 mais s'est montré optimiste pour 2002.
"Nous avons des raisons précises de croire que l'effondrement que nous avons connu sur le marché intérieur (allemand) de la construction cette année, ne se reproduira pas en 2002", a-t-il dit.
M. Keitel a reconnu que le cours de l'action de son groupe était "fondamentalement sous-évalué", ce qui aux yeux des analystes en fait une proie potentielle pour une offre hostile. Mais le responsable s'est élevé contre une telle perspective. "Nous pensons qu'une fusion avec un concurrent ne résoudrait pas nos problèmes car ces derniers sont liés à la structure de notre marché", a-t-il fait valoir.
