ÉTAT DES LIEUX. La moitié des 15.000 friches recensées par le Cerema seraient potentiellement mobilisables pour y faire de l'industrie, et un tiers pour y faire du logement. Mais le coût de remise en état à l'hectare dépasse le demi-million d'euros.
"Les friches constituent bien une réponse aux besoins en logement, notamment en zones tendues, compatible avec la maîtrise de la consommation foncière".
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