RENOUVELABLES. Affirmant que son énergie est un "moteur essentiel" pour réussir la transition énergétique, la filière éolienne présente cinq mesures censées permettre d'atteindre 50 gigawatts de production électrique d'origine offshore d'ici 2050. Des capacités "réalistes" pour le bouquet énergétique de la France, selon les professionnels.


Dans une période un peu mouvementée pour l'éolien, la filière décide de mettre en avant ses atouts, et surtout ses capacités. Quelques semaines après la publication du fameux rapport RTE sur les scénarios de politique énergétique possibles pour la France, et quelques mois après que le Premier ministre Jean Castex ait visité le chantier du premier parc offshore français à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et l'association France Énergie Éolienne (FEE) viennent de dévoiler une étude et un plan. Une étude d'abord qui démontre qu'il serait tout à fait possible d'atteindre 50 gigawatts de capacités maritimes installées d'ici 2050 - avec un objectif intermédiaire fixé à 18 GW en 2035 -, et un plan ensuite pour justement concrétiser cet objectif.
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