ENTRETIEN. Dans les dernières annonces des pouvoirs publics pour diminuer la dépendance française au gaz russe, nulle mention du rôle que pourraient jouer les outils de pilotage de l'énergie. Un manque regrettable, assure Pascal Portelli, vice-président d'Ignes, organisation réunissant les industriels de solutions électriques et numériques du bâtiment.


Dans son plan de résilience pour limiter les conséquences de la guerre en Ukraine et se passer au plus tôt des importations de gaz russe, le gouvernement a notamment présenté une hausse de MaPrimeRénov' pour le remplacement d'anciennes chaudières par des pompes à chaleur ou des appareils biomasse. Mais nulle trace d'un autre type d'équipements qui aurait visiblement un rôle à jouer :
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