Près de 500 personnes se sont rassemblées samedi à Saint-Escobille (Essonne) afin de protester contre un projet de décharge à ciel ouvert entre les communes de Saint-Escobille et Mérobert.
«La nappe phréatique de Beauce affleure à 25 mètres en dessous de la future décharge», a prévenu Claude Jaillet, responsable juridique de l'association de défense de la santé et de l'environnement (ADSE), créée il y a cinq ans.
Près de 500 personnes se sont rassemblées samedi à Saint-Escobille (Essonne) afin de protester contre un projet de décharge à ciel ouvert sur le territoire de cette petite commune rurale. La manifestation a rassemblé des élus locaux dont le député-maire d'Etampes, Franck Marlin, ainsi que des habitants d'une demi douzaine de communes voisines.
«Une quinzaine de rapports a été remis à des commissaires enquêteurs, notamment sur les risques environnementaux, sanitaires et socio-économiques», a expliqué Claude Jaillet. La décharge de 19 hectares, un projet SITA/Suez, doit être implantée entre Saint-Escobille et Mérobert.
Selon l'ADSE, près de 4.000 habitants de ces deux communes sont allées consulter dans leur mairie les documents de l'enquête publique qui a été menée du 8 octobre au 10 novembre.
Près de 500 personnes se sont rassemblées samedi à Saint-Escobille (Essonne) afin de protester contre un projet de décharge à ciel ouvert sur le territoire de cette petite commune rurale. La manifestation a rassemblé des élus locaux dont le député-maire d'Etampes, Franck Marlin, ainsi que des habitants d'une demi douzaine de communes voisines.
«Une quinzaine de rapports a été remis à des commissaires enquêteurs, notamment sur les risques environnementaux, sanitaires et socio-économiques», a expliqué Claude Jaillet. La décharge de 19 hectares, un projet SITA/Suez, doit être implantée entre Saint-Escobille et Mérobert.
Selon l'ADSE, près de 4.000 habitants de ces deux communes sont allées consulter dans leur mairie les documents de l'enquête publique qui a été menée du 8 octobre au 10 novembre.