Selon une étude réalisée à la demande du Conseil Général, les Côtes d'Armor comptent 10.000 résidents britanniques. Une étude qui prouve que le département est devenu la « terre d'élection » des Britanniques souhaitant s'installer en Bretagne.
Les Côtes d'Armor attirent les Britanniques ! En effet, au moins 6.000 d'entre eux y vivent en permanence et environ 4.000 supplémentaires y résident entre quatre et six mois de l'année. Et ce, sans compter les quelque 2.000 familles d'outre-Manche, propriétaires d'une résidence secondaire.
Fin 2003, 5.100 familles britanniques étaient propriétaires en Côte d'Armor. Compte tenu du nombre de transactions observé, ce chiffre a vraisemblablement passé le seuil des 6.000 début 2005, indique cette étude consacrée à un phénomène d'ampleur nationale -l'immigration britannique en France- mais peu radiographié.
Depuis 1988 jusqu'à fin 2003, plus de 20.000 transactions immobilières ont impliqué -hors revente- des étrangers en Bretagne, dont 80,8% sont des Britanniques, selon les chiffres de la cellule économique de Bretagne qui recense l'ensemble des actes de vente sur les quatre départements de la Bretagne administrative.
En moyenne, sur cette période 1988-2003, 37,6% de ces acquisitions étrangères se situent en Côtes d'Armor -où le coût de l'immobilier reste inférieur à celui des autres départements bretons-. Le phénomène atteint 42% en 2003.
En dehors de la vallée de la Rance, ces Britanniques s'installent principalement dans des régions rurales de l'intérieur du département où le prix est nettement moins élevé que dans les zones littorales.
Les motivations principale des leur venue en France sont le coût de la vie, la qualité de vie et la qualité des services publics (santé et éducation). Seuls 11% d'entre eux maîtrisent la langue française.
Près de 50% de ces Britanniques sont des cadres ou professions libérales -dont beaucoup d'adeptes du télétravail-, 22% des salariés, 18% des artisans ou commerçants et 14% des ouvriers.
En 2004, ces immigrants ont créé 67 entreprises dans le département. Sur un total de 197 entreprises, 35% sont dans le secteur du bâtiment, 23% dans les services, 18% dans le commerce et 17% dans le tourisme.
Les plus de 50 ans représentent 51% de cette population et les moins de 40 ans 22%.
A noter enfin que les liens avec le pays d'origine restent forts: si 36% ne s'y rendent qu'une fois ou deux chaque année, 28% traversent la Manche 3 à 4 fois par an, 22% effectuent 5 à 6 voyages et 16% plus de sept.
Fin 2003, 5.100 familles britanniques étaient propriétaires en Côte d'Armor. Compte tenu du nombre de transactions observé, ce chiffre a vraisemblablement passé le seuil des 6.000 début 2005, indique cette étude consacrée à un phénomène d'ampleur nationale -l'immigration britannique en France- mais peu radiographié.
Depuis 1988 jusqu'à fin 2003, plus de 20.000 transactions immobilières ont impliqué -hors revente- des étrangers en Bretagne, dont 80,8% sont des Britanniques, selon les chiffres de la cellule économique de Bretagne qui recense l'ensemble des actes de vente sur les quatre départements de la Bretagne administrative.
En moyenne, sur cette période 1988-2003, 37,6% de ces acquisitions étrangères se situent en Côtes d'Armor -où le coût de l'immobilier reste inférieur à celui des autres départements bretons-. Le phénomène atteint 42% en 2003.
En dehors de la vallée de la Rance, ces Britanniques s'installent principalement dans des régions rurales de l'intérieur du département où le prix est nettement moins élevé que dans les zones littorales.
Les motivations principale des leur venue en France sont le coût de la vie, la qualité de vie et la qualité des services publics (santé et éducation). Seuls 11% d'entre eux maîtrisent la langue française.
Près de 50% de ces Britanniques sont des cadres ou professions libérales -dont beaucoup d'adeptes du télétravail-, 22% des salariés, 18% des artisans ou commerçants et 14% des ouvriers.
En 2004, ces immigrants ont créé 67 entreprises dans le département. Sur un total de 197 entreprises, 35% sont dans le secteur du bâtiment, 23% dans les services, 18% dans le commerce et 17% dans le tourisme.
Les plus de 50 ans représentent 51% de cette population et les moins de 40 ans 22%.
A noter enfin que les liens avec le pays d'origine restent forts: si 36% ne s'y rendent qu'une fois ou deux chaque année, 28% traversent la Manche 3 à 4 fois par an, 22% effectuent 5 à 6 voyages et 16% plus de sept.