APPEL. Des parcours résidentiels "bloqués par les règles fiscales, urbanistiques et techniques", à modifier en profondeur de toute urgence pour résoudre la crise du logement en se basant sur le parc existant, "peu occupé", et de manière inadéquate. C'est le constat que font 26 professionnels de l'immobilier.


D'un côté, une crise du logement qui dure, avec son lot de personnes ne trouvant pas à se loger de manière satisfaisante, et une crise sociale qui monte. De l'autre, une "sobriété immobilière" devenue "nécessaire", vu le poids environnemental du secteur (près de la moitié de la consommation d'énergie et d'un quart des émissions de gaz à effet de serre en France). Pour les 26 acteurs de l'immobilier ayant signé la tribune parue dans Le Monde daté du 29 octobre, remédier à l'une sans renoncer à l'autre tient en une idée : "fluidifier les parcours résidentiels pour mieux occuper" le parc existant.

 

"La mobilité résidentielle permettant de changer de logement avec les évolutions de la vie de chacun est une attente majeure", arguent Christian Cléret et Jean-Christophe Visier, présidents du groupe de réflexions "bâtiments responsables et territoires" du Plan bâtiment durable, et 24 autres, parmi lesquels Joachim Azan (Novaxia), Meka Brunel (Université de la ville de demain), Pierre Madec (économiste OFCE), ou encore Philippe Pelletier (président du Plan bâtiment durable).
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