Autres exemples concrets : la création d'un "cabinet de curiosités" dans lequel un parcours de mise en situation Handicap permet d'expérimenter la différence entre un dévers à 2 % ou à 3 % en fauteuil ou encore d'appréhender, telle une personne malvoyante, l'utilisation des escaliers et des éléments techniques associés (Ndlr : contremarche, bande podotactiles, bande d'éveil à la vigilance, etc.).
"Effectivement, nos ateliers sont imaginés dans une dynamique de co-construction et d'intelligence Collective, reconnaît Alain Turchiarelli, ergonome et référent accessibilité du projet ACTE. Ils réunissent l'ensemble des acteurs de la conception, les architectes et les bureaux d'études."
Malgré tout, les porteurs du projet ACTE en sont convaincus : intégrer la dimension accessibilité dès les prémices d'un programme permet d'en réduire le coût alors que les adaptations a posteriori se révèlent souvent onéreuses.
Ce que contient la loi énergies renouvelables, définitivement adoptée par le Parlement
