CATASTROPHES NATURELLES. Trois personnalités ont été nommées pour évaluer la solidité du système assurantiel français face à des événements climatiques de plus en plus violents attendus, avec des conséquences matérielles dont le surcoût est évalué à 70 milliards d'euros sur 30 ans.


L'adaptation au changement climatique a de lourdes conséquences sur le secteur de l'immobilier, pas uniquement en matière de construction neuve ou de réhabilitation, mais aussi en matière de dommages et d'assurance. Si le phénomène de retrait-gonflement des sols argileux, par exemple, est répandu et connu depuis de nombreuses années, les montants en question dans les prochaines décennies pourraient augmenter drastiquement à mesure que la météo s'emballe.

 

Face à cela, le système assurantiel français est-il outillé ? Alors que le groupe écologiste a présenté, et fait adopter, une proposition de loi relative à l'indemnisation des dommages et l'état de catastrophe naturelle (le texte est désormais entre les mains du Sénat), le gouvernement lance, de son côté, une réflexion sur le sujet.
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