FONCIER. Le président de l'Union des aménageurs estime que le deuxième volet du programme national de revitalisation des villes moyennes, centré sur les quartiers de gares et les entrées de villes, offrira de meilleures opportunités aux aménageurs que le premier volet.


Dans les centres-villes, leur participation avait été "difficile à mettre en œuvre". Sur les quartiers de gares et surtout les entrées de villes, le savoir-faire des acteurs privés de l'aménagement sera utile. C'est en substance, le message que portent François Rieussec, président de l'Unam (Union nationale des aménageurs) et Jean Guiony, directeur adjoint du programme national Action cœur de ville. Lors d'un échange à l'occasion du Salon de l'aménagement durable, le 6 avril, ils ont pu expliquer en quoi le deuxième volet d'ACV sera "plus favorable aux aménageurs privés".

 

Action cœur de ville, lancé en 2018, vise à revitaliser les centres-villes de 242 villes moyennes. A la fin du programme quinquennal, fin 2022, un second volet a été lancé, pour continuer les interventions sur les centres, mais en ajoutant, pour les mêmes villes, un travail sur les quartiers de gares et les entrées de villes, des zones identifiées comme "à enjeux" tout en étant d'intervention difficile. "On ne change pas une équipe qui gagne", selon les mots de Jean Guiony, ce sont donc "les mêmes partenaires financiers qui se sont réengagés". A savoir : la Banque des territoires, Action Logement, et l'Anah.

 

 

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