Jean-Luc Mano, adjoint PS au logement du maire de Paris, a inauguré un ensemble de 17 logements sociaux avenue Pierre 1er de Serbie, voie huppée du XVIe arrondissement, en application de sa politique de développement de ce type d'habitat dans les beaux quartiers.
La taille des logements de cet immeuble 1900, acheté par l'OPAC (principal office HLM de France) et remis à neuf pour un coût total de 4,7 millions d'euros, varie du studio au 4 pièces, avec un loyer de 140 à 450 euros par mois.
"C'est un immeuble comme un autre dans une avenue comme une autre, et le logement social est un appartement comme un autre", a déclaré M. Mano en visitant l'immeuble. Il a remarqué aussi que 73% des habitants de l'Ile-de-France sont éligibles à un logement social et qu'il y a dans le XVIe 3.300 demandeurs de logements sociaux.
Pierre-Christian Taittinger, maire UMP de l'arrondissement, s'est réjoui de cette opération qui fournit des appartements "à des jeunes et à des familles". "Continuez !", a-t-il lancé à M. Mano.
Il a fait valoir aussi à l'AFP s'être opposé à la création de logements sociaux dans son arrondissement lorsque les mal-logés du XVIe n'étaient pas considérés comme prioritaires.
Près de la moitié des logements sociaux parisiens sont concentrés sur trois arrondissements, les XIIIe, XIXe et XXe, et le XVIe n'en compte que 2%.
Selon M. Mano, ce type d'acquisition-réhabilitation représente "un coût inférieur à la construction de logement neuf dans l'est parisien". Il a rappelé les ambitions de la ville de produire 3.500 logements sociaux par an, et a regretté que l'Etat soit en retard dans le versement de sa quote-part.
"C'est une situation qui n'est pas acceptable, c'est un frein au développement", a-t-il affirmé.
"C'est un immeuble comme un autre dans une avenue comme une autre, et le logement social est un appartement comme un autre", a déclaré M. Mano en visitant l'immeuble. Il a remarqué aussi que 73% des habitants de l'Ile-de-France sont éligibles à un logement social et qu'il y a dans le XVIe 3.300 demandeurs de logements sociaux.
Pierre-Christian Taittinger, maire UMP de l'arrondissement, s'est réjoui de cette opération qui fournit des appartements "à des jeunes et à des familles". "Continuez !", a-t-il lancé à M. Mano.
Il a fait valoir aussi à l'AFP s'être opposé à la création de logements sociaux dans son arrondissement lorsque les mal-logés du XVIe n'étaient pas considérés comme prioritaires.
Près de la moitié des logements sociaux parisiens sont concentrés sur trois arrondissements, les XIIIe, XIXe et XXe, et le XVIe n'en compte que 2%.
Selon M. Mano, ce type d'acquisition-réhabilitation représente "un coût inférieur à la construction de logement neuf dans l'est parisien". Il a rappelé les ambitions de la ville de produire 3.500 logements sociaux par an, et a regretté que l'Etat soit en retard dans le versement de sa quote-part.
"C'est une situation qui n'est pas acceptable, c'est un frein au développement", a-t-il affirmé.
