Le ministre de l’Écologie Jean-Louis Borloo était invité, mardi matin, à visiter quelques stands du salon, en compagnie de Christian Baffy, président de la Fédération Française du Bâtiment (FFB). Tour d’horizon des dernières innovations en termes d’économie d’énergie et de développement durable, aux côtés du monsieur Grenelle de l’environnement.
Jean-Louis Borloo, ministre de l'Écologie, du développement et de l'aménagement durables, et Christian Baffy, président de la Fédération Française du Bâtiment, étaient attendus, mardi, par les professionnels de la construction et du bâtiment.
En un temps record, le ministre et son équipe ont pris part à une visite organisée à travers les dédales du salon Batimat. L’idée : constater les évolutions technologiques développées par les entreprises du secteur allant dans le sens des propositions faîtes par les groupes de travail du Grenelle de l’environnement.
Dernières innovations technologiques
La visite organisée pour le ministre a suivi un itinéraire bien préparé. Celui-ci a démarré dans la maison du futur, équipée des dernières innovations technologiques et écologiques. Jean-Louis Borloo a ensuite pu observer de près les panneaux solaires et briques en terre-cuite de chez Imerys. Il s’est arrêté au stand Saint-Gobain pour une présentation des avantages des doubles et triples vitrages. Chez ArcelorMittal, le ministre a pu se pencher sur des panneaux photovoltaïques dernier-cri. Du côté de la Capeb (Confédération de l’Artisanat), on lui a présenté «Cap Energy», un logiciel servant à calculer le bilan énergétique d’une maison. Et ainsi de suite…
Au détour d’une allée, entre deux stands, Christian Baffy donne sa vision du bâtiment de demain : «La construction après Grenelle sera totalement différente. On prend 40 ans d’avance». Jean-Louis Borloo précise cependant qu’il faut «des règles claires pour garantir aux gens que les matériaux sont agréés». En guise de bilan, le ministre se félicite : «On sait aujourd’hui construire des maisons à très basse consommation, de 0 à 50 kilowatts, pour 1.200 euros le m². On est sur des écarts majeurs».
Découvrez quelques-uns des stands où Jean-Louis Borloo et Christian Baffy se sont arrêtés.
En un temps record, le ministre et son équipe ont pris part à une visite organisée à travers les dédales du salon Batimat. L’idée : constater les évolutions technologiques développées par les entreprises du secteur allant dans le sens des propositions faîtes par les groupes de travail du Grenelle de l’environnement.
Dernières innovations technologiques
La visite organisée pour le ministre a suivi un itinéraire bien préparé. Celui-ci a démarré dans la maison du futur, équipée des dernières innovations technologiques et écologiques. Jean-Louis Borloo a ensuite pu observer de près les panneaux solaires et briques en terre-cuite de chez Imerys. Il s’est arrêté au stand Saint-Gobain pour une présentation des avantages des doubles et triples vitrages. Chez ArcelorMittal, le ministre a pu se pencher sur des panneaux photovoltaïques dernier-cri. Du côté de la Capeb (Confédération de l’Artisanat), on lui a présenté «Cap Energy», un logiciel servant à calculer le bilan énergétique d’une maison. Et ainsi de suite…
Au détour d’une allée, entre deux stands, Christian Baffy donne sa vision du bâtiment de demain : «La construction après Grenelle sera totalement différente. On prend 40 ans d’avance». Jean-Louis Borloo précise cependant qu’il faut «des règles claires pour garantir aux gens que les matériaux sont agréés». En guise de bilan, le ministre se félicite : «On sait aujourd’hui construire des maisons à très basse consommation, de 0 à 50 kilowatts, pour 1.200 euros le m². On est sur des écarts majeurs».
Découvrez quelques-uns des stands où Jean-Louis Borloo et Christian Baffy se sont arrêtés.
