Selon la Chambre syndicale des promoteurs constructeurs de la région Ile-de-France, le marché des logements neufs à Paris a reculé en 2000 et au premier trimestre 2001.
En annonçant que " le marché des logements neufs à Paris a globalement reculé en l'an 2000 et au premier trimestre 2001, de façon significative en nombre de ventes et dans une moindre proportion en chiffre d'affaires ", la Chambre syndicale des promoteurs-constructeurs d'Ile-de-France précise toutefois que " nous ne sommes pas dans une phase de repli ".
Pourtant, la hausse des valeurs des logements et un environnement économique sensiblement moins porteur "laissent à penser que la décélération de l'activité pourrait se poursuivre en 2001" a indiqué la chambre syndicale ou cours d'un point presse.
Le principal constat dans ce marché en recul est que les ventes de studios et de deux-pièces "se sont effondrées" explique le président de la Cogedim et de la Chambre syndicale, Henri Caron. En 2000, les ventes ont représenté un tiers de celles de 1999. La production nouvelle s'est également repliée, dans le cadre du mouvement de ralentissement général de l'économie, ce qui a amplifié la décélération des ventes. Ceci a produit une "rareté" des logements pour les acquéreurs, provoquant une poursuite de la hausse de leurs prix.
Sur l'ensemble de l'année 2000, 2.050 logements ont été vendus dans la capitale, 2.400 ont été mis en vente et l'offre totalisait en fin d'année 1.650 logements, a précisé M. Caron. De chiffres qui contrastent singulièrement avec ceux enregistrés en 1998 et 1999 : les ventes avaient été respectivement durant ces deux années de 3.100 et 3.500, les mises en ventes de 3.200 et 3.100 et les offres en fin d'année de 1.500 et 1.300.
Au premier trimestre 2001, il n'y a eu que 280 appartements mis en vente et 419 ventes effectuées, pour une offre en fin de trimestre de 1.504 logements (chiffres provisoires).
Pourtant, la hausse des valeurs des logements et un environnement économique sensiblement moins porteur "laissent à penser que la décélération de l'activité pourrait se poursuivre en 2001" a indiqué la chambre syndicale ou cours d'un point presse.
Le principal constat dans ce marché en recul est que les ventes de studios et de deux-pièces "se sont effondrées" explique le président de la Cogedim et de la Chambre syndicale, Henri Caron. En 2000, les ventes ont représenté un tiers de celles de 1999. La production nouvelle s'est également repliée, dans le cadre du mouvement de ralentissement général de l'économie, ce qui a amplifié la décélération des ventes. Ceci a produit une "rareté" des logements pour les acquéreurs, provoquant une poursuite de la hausse de leurs prix.
Sur l'ensemble de l'année 2000, 2.050 logements ont été vendus dans la capitale, 2.400 ont été mis en vente et l'offre totalisait en fin d'année 1.650 logements, a précisé M. Caron. De chiffres qui contrastent singulièrement avec ceux enregistrés en 1998 et 1999 : les ventes avaient été respectivement durant ces deux années de 3.100 et 3.500, les mises en ventes de 3.200 et 3.100 et les offres en fin d'année de 1.500 et 1.300.
Au premier trimestre 2001, il n'y a eu que 280 appartements mis en vente et 419 ventes effectuées, pour une offre en fin de trimestre de 1.504 logements (chiffres provisoires).
