La calade n'a pas été la seule difficulté du projet. D'autres contraintes se sont présentées sur le bâti et sa voûte en encorbellement. « Pour empêcher son basculement, il a fallu monter de la masse à l'extérieur et reporter l'effort. Pour ne prendre aucun risque, on l'a étayé, sachant que les ABF (Architectes des bâtiments de France) nous ont imposé une visibilité à respecter », détaille Vincent Caussanel.

 

Le dolmen classé se trouvant juste au-dessus de la colline de Super Cayrou, il ne fallait donc pas que le refuge soit visible depuis le mégalithe. Enfin, la toiture a imposé un travail complexe de relevés, de profils et d'implantations. Petite subtilité : l'été, le soleil se couche dans l'axe de la porte, située au milieu des deux cabanes.

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