Une enquête de lUnion nationale de la propriété immobilière (UNPI) sur la fiscalité du patrimoine dévoile que les deux tiers des propriétaires français ne veulent plus investir dans limmobilier. Un résultat qui s'explique, selon l'UNPI, notamment par la lourdeur de la fiscalité et de la réglementation
Selon lenquête* de lUNPI, organisme qui représente les propriétaires privés particuliers, 75% des propriétaires de lHexagone déclarent ne plus vouloir investir dans limmobilier. Découragés par la lourdeur de la fiscalité et de la réglementation, 58% dentre eux indiquent également que la gestion est bien trop incertaine.
Cependant, 57% des 20-40 ans déclarent être prêts à investir dans limmobilier et 63% de cette tranche dâge indiquent quils le feraient sans incitation fiscale.
Dautre part, 93% estiment ne pas avoir de problème quant à leur relation locative même si 36% révèlent avoir eu des retards de paiement, réglés à lamiable.
Alors que seulement 11% y sont assujettis, les propriétaires se prononcent à 58% pour la suppression de lImpôt de solidarité sur la fortune (ISF). A noter que le nombre de personnes payant cet impôt est en constante progression.
45% des propriétaires soulignent par ailleurs que limpôt le plus lourd porte sur le revenu. Un propriétaire sur deux cite dans ce cadre les charges liées à la CSG-CRDS.
*Lenquête sur la fiscalité du patrimoine a été réalisée à partir de 3.000 réponses au questionnaire de lUNPI. Il sagit de la première du genre.
Cependant, 57% des 20-40 ans déclarent être prêts à investir dans limmobilier et 63% de cette tranche dâge indiquent quils le feraient sans incitation fiscale.
Dautre part, 93% estiment ne pas avoir de problème quant à leur relation locative même si 36% révèlent avoir eu des retards de paiement, réglés à lamiable.
Alors que seulement 11% y sont assujettis, les propriétaires se prononcent à 58% pour la suppression de lImpôt de solidarité sur la fortune (ISF). A noter que le nombre de personnes payant cet impôt est en constante progression.
45% des propriétaires soulignent par ailleurs que limpôt le plus lourd porte sur le revenu. Un propriétaire sur deux cite dans ce cadre les charges liées à la CSG-CRDS.
*Lenquête sur la fiscalité du patrimoine a été réalisée à partir de 3.000 réponses au questionnaire de lUNPI. Il sagit de la première du genre.