Dès l'obtention du concours en 2012, l'équipe architecturale s'est attachée à proposer une extension respectant le fonctionnement et la structure du bâtiment existant, c'est-à-dire, une "grande halle" des années 1980. "La nouvelle construction d'un monolithe en béton se connecte ainsi à l'ancienne par le pignon vitré nord-ouest de la halle, poursuit Matthieu Laviolle. Charnière, il accueille le noyau de circulation qui connecte les deux entités de l'hippodrome et distribue les différents espaces et programmes, tout en accueillant des locaux techniques. C'est pourquoi, nous avons surtout pris le parti de se dissocier fortement de l'existant par son écriture architecturale et ses matériaux, tout en respectant la logique d'implantation longitudinale que le champ de course induit naturellement."

 

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