Selon une enquête de lInstitut IPD France, établie à partir de 75 portefeuilles dinstitutionnels, le rendement global moyen du marché de limmobilier sest établi à +10,1% en 2004. Il atteint ainsi un niveau comparable à celui des marchés des actions (+11,4%) et des obligations (+9,5%).
Sur 2004, le rendement moyen de limmobilier direct a augmenté de 8,1% par rapport à 2003. Une hausse qui sexplique principalement par le rendement en capital, qui est passé de 1,6% à 3,6% en un an, reflétant ainsi la hausse des prix des immeubles en 2004. Le rendement locatif est quant à lui resté stable en 2004, à 6,2%.
Si limmobilier coté progresse de 43,1%, dopé par le nouveau régime fiscale des SIIC ( Sociétés dinvestissements immobilier cotées), le taux de rendement de linvestissement dans la pierre a été plus faible.
Par secteur, on remarque une progression des sommes dédiées aux immeubles de bureaux, aux commerces et aux locaux industriels et un recul de lhabitation.
Dans le détail, 54,3% des fonds ont été investis dans les bureaux en 2004, contre 48,6% en 1999. Quant aux commerces et aux locaux industriels, la part sélève à 25%, contre 16,6% en 1999. Et seulement 20,7% des fonds ont été investis dans lhabitation , contre 34,8% en 1999.
Concernant les rendements globaux, les commerces affichent la part la plus élevée (14,1% contre 11,7% en 2003), juste devant lhabitation (11,6% contre 8,8% en 2003) qui progresse notamment dans les métropoles régionales où les rendements ont atteint 15,8 % grâce à lenvolée des prix du logement et les locaux industriels (10,9% contre 10,7%).
Les bureaux arrivent plus loin derrière avec un rendement de 8%, en hausse de 1,3 point par rapport à 2003, avec une rendement locatif stable de 6,5%. Et ce, pour la première fois depuis 2000.
Par ailleurs, les stratégies dinvestissement sembleraient se diversifier. Avec une accélération des ventes dimmeuble résidentiels , et un regain dachats dactifs résidentiels, sans oublier une accélération de la rotation du parc de bureaux.
Si limmobilier coté progresse de 43,1%, dopé par le nouveau régime fiscale des SIIC ( Sociétés dinvestissements immobilier cotées), le taux de rendement de linvestissement dans la pierre a été plus faible.
Par secteur, on remarque une progression des sommes dédiées aux immeubles de bureaux, aux commerces et aux locaux industriels et un recul de lhabitation.
Dans le détail, 54,3% des fonds ont été investis dans les bureaux en 2004, contre 48,6% en 1999. Quant aux commerces et aux locaux industriels, la part sélève à 25%, contre 16,6% en 1999. Et seulement 20,7% des fonds ont été investis dans lhabitation , contre 34,8% en 1999.
Concernant les rendements globaux, les commerces affichent la part la plus élevée (14,1% contre 11,7% en 2003), juste devant lhabitation (11,6% contre 8,8% en 2003) qui progresse notamment dans les métropoles régionales où les rendements ont atteint 15,8 % grâce à lenvolée des prix du logement et les locaux industriels (10,9% contre 10,7%).
Les bureaux arrivent plus loin derrière avec un rendement de 8%, en hausse de 1,3 point par rapport à 2003, avec une rendement locatif stable de 6,5%. Et ce, pour la première fois depuis 2000.
Par ailleurs, les stratégies dinvestissement sembleraient se diversifier. Avec une accélération des ventes dimmeuble résidentiels , et un regain dachats dactifs résidentiels, sans oublier une accélération de la rotation du parc de bureaux.