CRÉDITS. Le pire serait-il derrière nous ? Certains courtiers le pensent, après avoir entendu la Banque centrale européenne avancer ses éléments de langage. L'institution a néanmoins augmenté, une fois de plus, ses taux directeurs.


Comme anticipé par les marchés financiers, la BCE a annoncé, le 14 septembre, une nouvelle hausse de 0,25% de ses taux directeurs, portant le taux de dépôt à 4%. Une mesure qui vise, comme les précédentes hausses, à contrer l'inflation galopante rencontrée au sein de la zone euro, en resserrant notamment les crédits immobiliers. Une chose est sure : en France, l'effet escompté est là, puisque sur un an le volume de crédits octroyés est en baisse de 45%, et les taux des crédits se sont envolés.

 

 

A première vue, pas de quoi se réjouir, du côté des acteurs bancaires comme pour les accédants potentiels : une nouvelle hausse veut dire des conditions d'octroi toujours plus difficiles. Mais, relève la société de courtage Cafpi, ce sont les éléments de langage entourant cette annonce qui "laissent à penser que ce nouveau resserrement pourrait être le dernier". Ou, à tout le moins, que "nous approchons de la fin de la phase de remontée des taux".
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