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Antoine Aiello, président de l'Université de Corse, s'est montré hostile au projet Padduc, destiné à l'aménagement et au développement durable de la Corse. Il a demandé la «suspension» du texte en question.
Devant la communauté universitaire corse, le président de l'Université de l'île, Antoine Aiello, s'est prononcé au sujet du plan d'aménagement et de développement durable de la Corse en demandant sa suspension, en raison de «l'incompétence» des rédacteurs de ce texte. Il a souligné à ce sujet l'absence «d'objectifs» : «Il n'y a pas de buts à atteindre et trop de libéralisme qui mènent à l'impasse».
Les raisons évoquées par Antoine Aiello pour justifier de suspendre ce texte sont, entre autres, que «le choix du tourisme comme modèle économique ne démontre pas sa vitalité et n'offre aucune place aux jeunes diplômés de l'Université de Corse, qui n'auront comme seul choix, des emplois précaires et à faible valeur ajoutée». Le projet, publié cet été, a vu la création d'un «front uni contre ce Padduc». Il rassemble actuellement un peu plus de 70 associations, syndicats et autres mouvements politiques. Ceux-ci parlent d'une «atteinte intolérable à la loi littorale».
Les raisons évoquées par Antoine Aiello pour justifier de suspendre ce texte sont, entre autres, que «le choix du tourisme comme modèle économique ne démontre pas sa vitalité et n'offre aucune place aux jeunes diplômés de l'Université de Corse, qui n'auront comme seul choix, des emplois précaires et à faible valeur ajoutée». Le projet, publié cet été, a vu la création d'un «front uni contre ce Padduc». Il rassemble actuellement un peu plus de 70 associations, syndicats et autres mouvements politiques. Ceux-ci parlent d'une «atteinte intolérable à la loi littorale».
