Une autre difficulté du projet a résidé dans le choix des faux-plafonds : les concepteurs ont opté pour des faux-plafonds en bacs métalliques perforés, des éléments complexes à mettre en œuvre, de par la géométrie atypique d'Alto. Un modèle a été sélectionné, et il a ensuite fallu ajuster les faux-plafonds tous les 5 étages, tout en installant par endroits des trames de rattrapage en plage BA13. "Il fallait répondre à une logique de correspondance entre industrialisation du processus et spécificité du projet", avertit Bouygues Bâtiment Ile-de-France. "En termes de géométrie, Alto est un objet des plus ardus ! Il n'y a pas deux niveaux identiques. Cela fait du projet un défi architectural mais aussi un challenge stimulant", ajoute Sandra de Lamotte.
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Alto adopte de fait des formes souples, avec des typologies d'espaces différentes. C'est pourquoi le futur édifice ambitionne de proposer des bureaux, des restaurants, des cafétérias, une salle de fitness, un amphithéâtre, des terrasses… Sachant qu'à chaque niveau, la surface et la capacité d'accueil varie. Les espaces se veulent modulables, avec une hauteur sous plafond variant selon le type d'espace, l'étage et parfois même au sein d'un même niveau.
"Une limite a été franchie concernant l'acceptabilité des projets" V.Lavergne (architecte)
