Pour réduire au maximum l'empreinte carbone du site, la question de l'énergie a aussi été un sujet important. Le mix énergétique choisit doit ainsi permettre de réduire de 16% la consommation énergétique totale de ce site industriel, et de près de 50% celle de gaz. Pour y parvenir, la géothermie est combinée à un système de récupération de chaleur ainsi qu'à l'installation de 1.772 panneaux photovoltaïques en autoconsommation sur la toiture (dont les composants sont principalement européens, ce qui évite l'émission de 300 tonnes d'équivalent CO2 pour leur fourniture).

 

Pour les consommations liées au process qui ne peuvent être traitées par ces différentes sources, l'utilisation de biogaz fait aussi partie des engagements de l'occupant du site.

 

Grâce aux solutions mises en place en matière environnementale, le bilan carbone de la construction du site devrait atteindre environ 15.600 tonnes équivalent CO2, contre 17.400 sans elles. En exploitation, l'empreinte carbone passe de 945 tonnes équivalent CO2 par an à 260 tonnes grâce au mix énergétique.

 

Démarré en février 2024, le chantier, sur lequel s'activent encore une centaine de personnes, doit être livré en février 2026.

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