Avec près de 400.000 emplois, cette filière mal connue bénéficie pourtant d'effectifs globalement stables depuis 10 ans. La difficulté majeure est de quantifier le nombre d'emplois «verts» de manière globale car le périmètre de cette filière est à géométrie variable. Cette évolution linéaire des emplois de la filière sur une période de 5 ans (2010 à 2015), conduit in fine à la création de 225.000 emplois sur cette période.

 

Le comité de filière propose entre autres à ce que les enseignants relevant de l'Education Nationale puissent effectuer des stages en entreprises et suivent des formations complémentaires auprès de l'enseignement supérieur ou des organismes de formation continue, de mettre en place une réflexion sur de nouveaux intitulés de diplômes, de modifier l'intitulé de la filière. En effet, la terminologie «Construction électrique, électromécanique et réseaux» ne correspond plus au développement des systèmes électriques du XXIème siècle. Le comité propose «Systèmes éco-électriques» ou «Technologies éco-électriques».

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