INTERVIEW. Depuis 35 ans, le groupe Stradim reste l'un des leaders de la vente en "résidence principale", dans le Grand Est. Cette position s'explique par un ancrage fort dans chaque territoire, une présence humaine et un cap inchangé malgré les zones de turbulence. Jacques Jenn, directeur commercial groupe, développe cette stratégie pour nous.
Batiactu : Avec un marché déjà compliqué et une instabilité politique qui revient, votre cap reste-t-il inchangé ?
Jacques Jenn : La tendance actuelle ne fait que confirmer notre stratégie, celle que nous appliquons depuis plusieurs décennies. Pour maintenir nos performances sur le marché de l'habitation principale, nous nous appuyons sur nos forces internes et cela depuis la gestion de la prospection foncière, au montage d'opérations sans oublier nos solutions de commercialisation. Depuis plus de trois décennies, nous disposons de nos propres forces de vente et nous restons en charge de notre propre commercialisation. Cela nous permet d'obtenir des remontées d'informations en temps réel, une richesse incroyable d'expériences ainsi que d'analyses de datas, afin de coller au plus près du marché.
Bien sûr, de nombreux facteurs peuvent redistribuer les cartes : fiscal, financier, social ou politique. Lorsqu'un gouvernement est dissout ou que des changements politiques sont en instance, cela déclenche automatiquement un phénomène attentiste.
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