Selon l’Observatoire du bien être dans les immeubles, sondage exclusif réalisé par Ipsos pour Loiselet & Daigremont/Vivre Plus, la grande majorité des Français se sentent bien dans leur immeuble, contre 82% l’an passé. Des résultats qui démontrent que le logement a largement dépassé la notion de simple toit… pour devenir un véritable espace intime et familial.

85% des Français affirment se sentir bien dans leur immeuble. Et 53% déclarent même s’y sentir très bien ! Bien que l’actualité mette aujourd’hui en relief les problèmes dans les banlieues et d’insalubrité, les chiffres de l’Observatoire du bien-être dans les immeubles* révèlent un certain sentiment de confort et de sérénité ! «En 2006, ce qui ressort, exprime l’attachement à leur cocon, le souhait de favoriser ce bien-être chez soi et le désir de le faire durer», explique Loiselet & Daigremont dans un communiqué.

Parmi les raisons principales du bien-être dans les immeubles, la tranquillité, la sécurité et le voisinage figurent au premier rang, à 70,5%, dont 49,2% pour le calme et la tranquillité et 31,6% pour les «bonnes relations avec le voisinage/bien fréquenté/voisins sympas, discrets». La deuxième raison est l’environnement (commerce, parc/jardin, situation géographique), à 36,4%, tandis que la conception de l’appartement et de l’immeuble en tant que telle n’est une raison de bien être que pour 32,8% des personnes se sentant bien dans leur immeuble.

Portrait type du résident bien dans son immeuble
Selon l’observatoire, le profil type du résident qui se sent tout à fait bien dans son immeuble est plutôt propriétaire, retraité, habitant Paris, de niveau d’instruction supérieur au bac, et avec un revenu mensuel net supérieur à 2.300€.


Plus d’informations sur cette étude à paraître dans le numéro de novembre de ConstruCom

*Sondage réalisé par Ipsos, du 30 juin au 4 juillet et du 7 au 11 juillet 2005 auprès de 775 individus de 20 ans et plus résidant dans des appartements, issu d’un échantillon national représentatif de 1886 individus âgés de 18 ans et plus, résidant en France métropolitaine. Cette population a été sélectionnée selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage) doublée de la stratification région/catégorie d’agglomération.

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