Le paysage est "une part importante" de cette opération. Des espaces extérieurs en rez-de-chaussée ont été aménagés, tout comme des jardins pédagogiques et partagés en toitures. Pour ce projet d'ensemble, 70% de la surface de la parcelle a été désimperméabilisée. L'opération "préfigure le plan local d'urbanisme bioclimatique de Paris", indique l'architecte. La pleine terre réapparaît dans le patio au centre de la médiathèque, dans le parvis, les jardins et la terrasse de la Maison des réfugiés. Une végétalisation multistrates a été réalisée, avec des essences régionales, et des revêtements clairs (dalles de béton recyclées et sables stabilisés) ont été mis en œuvre. À cela s'ajoute une planche d'eau installée entre le jardin partagé et le jardin des ombres.

 

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