RÉSULTATS. Le groupe Bouygues a enregistré un premier semestre satisfaisant, soutenu par les activités de construction. Malgré la pression fiscale, une conjoncture immobilière encore fragile et un certain attentisme sur certains marchés d'Equans, son directeur général, Olivier Roussat, mise sur la solidité de ses activités pour traverser 2025 sans encombre.
Comme depuis désormais plusieurs années, Olivier Roussat, le directeur général de Bouygues, décrit le contexte général dans lequel évolue le groupe (mais pas seulement), comme "un environnement économique et géopolitique incertain". Mais en dépit de cette ambiance qui devient presque habituelle, il l'assure : la major "s'illustre par la solidité de sa structure financière", enregistrant un "bon premier semestre 2025".
Sur les six premiers mois de l'année, le groupe a cumulé un chiffre d'affaires de 26,9 milliards d'euros. Ce qui représente une très légère hausse de 1,3% (+0,7% à périmètre et change constant), portée essentiellement par les activités de construction. France et international jouent à jeu égal, le marché domestique représentant 13,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires, contre 13,3 milliards pour les activités hors de France.
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