La délégation d'ouvriers CGT de Saint-Gobain venue manifester mercredi midi devant le siège du groupe a été "entendue", a affirmé Gabriel Miranda, coordinateur de la manifestation après avoir été reçu par des représentants de la direction.
"On a trouvé une oreille un peu plus attentive, le groupe a mesuré l'ampleur de votre détermination, on attend maintenant un signal fort de leur part pour rassurer les salariés" a-t-il dit après avoir été reçu pendant une heure par les directeurs des ressources humaines et des relations sociales du groupe qui emploie 50.000 personnes en France.
Environ 300 ouvriers étaient venus du Vaucluse, de la Loire et de différents sites de France avec casquettes, sifflets, pétards, banderoles et merguez, manifester contre un "dialogue social de plus en plus assujetti à la rentabilité financière" selon les mots de Françoise Lichiere, de la SEPR dans le Vaucluse.
La CGT de Saint-Gobain (verre, emballages et matériaux de construction) avait appelé sur tous les sites à des arrêts de travail, allant de huit à quarante heures, durant toute la semaine, pour dénoncer cette "stratégie financière qui a tendance à prendre le pas sur la stratégie industrielle".
Environ 300 ouvriers étaient venus du Vaucluse, de la Loire et de différents sites de France avec casquettes, sifflets, pétards, banderoles et merguez, manifester contre un "dialogue social de plus en plus assujetti à la rentabilité financière" selon les mots de Françoise Lichiere, de la SEPR dans le Vaucluse.
La CGT de Saint-Gobain (verre, emballages et matériaux de construction) avait appelé sur tous les sites à des arrêts de travail, allant de huit à quarante heures, durant toute la semaine, pour dénoncer cette "stratégie financière qui a tendance à prendre le pas sur la stratégie industrielle".
