L'architecte et ingénieur espagnol Santiago Calatrava a présenté mercredi soir à Atlanta le projet destiné à accueillir l'orchestre symphonique de la ville. Comme pour le récent Opéra de Tenerife, la structure comporte une épique dorsale très aérienne, réalisée cette fois en acier et en verre.
Déjà considéré comme un symbole moderne de l'Etat de Géorgie que l'on pourrait envoyer en carte postale à travers le monde, le projet architectural de Santiago Calatrava fournira en 2008 un étonnant bâtiment à l'orchestre symphonique d'Atlanta, le plus grand du sud-est américain. Le montant prévu pour la construction est de 225 millions de dollars.
Pour l'architecte espagnol, «l'orchestre symphonique d'Atlanta a été un client véritablement visionnaire». «Depuis le début, la direction a su ce qu'elle voulait réaliser : pas seulement une salle de concert exceptionnelle, littéralement formée autour de l'orchestre, mais un édifice dans lequel le public puisse reconnaître la singularité de leur ville et en être fier», ajoute-t-il.
Le projet de Calatrava enveloppe dans des coques de béton blanc de généreuses surfaces de verre et d'acier, ouvertes sur le ciel. Un élément de cette structure, véritable épine dorsale du projet, s'élève dans les airs à 56 m de haut depuis l'arrière du bâtiment puis «redescendant à pic vers l'avant comme un faucon sur sa proie». Constituée de verre et d'acier, elle est répétée une seconde fois à échelle moindre au-dessus d'une entrée latérale.
L'effet de dynamisme apporté par cet élément aérien est en fait bien réel car les «ailes» qui le jouxtent sont mobiles et s'ouvrent au-dessus du foyer supérieur.
L'acoustique des salles, confiée à l'équipe de Kirkegaard Associates, prévoit que le plafond de la grande salle puisse être abaissé ou remonté afin de s'adapter à divers types de sonorités. Et comme l'explique l'architecte, le Symphony Center étant situé au coeur de la ville, il est logique de disposer l'orchestre au centre de l'audience.
Pour l'architecte espagnol, «l'orchestre symphonique d'Atlanta a été un client véritablement visionnaire». «Depuis le début, la direction a su ce qu'elle voulait réaliser : pas seulement une salle de concert exceptionnelle, littéralement formée autour de l'orchestre, mais un édifice dans lequel le public puisse reconnaître la singularité de leur ville et en être fier», ajoute-t-il.
Le projet de Calatrava enveloppe dans des coques de béton blanc de généreuses surfaces de verre et d'acier, ouvertes sur le ciel. Un élément de cette structure, véritable épine dorsale du projet, s'élève dans les airs à 56 m de haut depuis l'arrière du bâtiment puis «redescendant à pic vers l'avant comme un faucon sur sa proie». Constituée de verre et d'acier, elle est répétée une seconde fois à échelle moindre au-dessus d'une entrée latérale.
L'effet de dynamisme apporté par cet élément aérien est en fait bien réel car les «ailes» qui le jouxtent sont mobiles et s'ouvrent au-dessus du foyer supérieur.
L'acoustique des salles, confiée à l'équipe de Kirkegaard Associates, prévoit que le plafond de la grande salle puisse être abaissé ou remonté afin de s'adapter à divers types de sonorités. Et comme l'explique l'architecte, le Symphony Center étant situé au coeur de la ville, il est logique de disposer l'orchestre au centre de l'audience.