Le Syndicat intercommunal du bassin d’Arcachon (Siba) a annoncé mardi la création de deux nouvelles stations d’épuration. Les stations, intégrant une technologie anti-bactérienne unique en France, seront mises en service en 2007 sur le bassin d’Arcachon (Gironde).
Michel Sammarcelli, président du Siba, a indiqué lors d’une conférence de presse organisée à La Teste-de-Buch (Gironde) que les travaux, d’un montant total de 40 millions d’euros, ont débuté à l’automne 2005. Les stations d’épuration seront opérationnelles en juin 2007.
Situées sur les communes de La Teste-de-Buch et de Biganos, les stations auront pour objectif de traiter les eaux usées – ménagères et industrielles – du réseau d’assainissement des dix communes bordant le bassin d’Arcachon.
D’autre part, Michel Sammarcelli explique que le projet vise à répondre à la « pression urbaine » constatée sur le bassin et à « améliorer la qualité de l’eau » rejetée en bout de chaîne au sud du bassin, sur le littoral aquitain. De son côté, Gilbert Guérin, directeur général du Siba, a ajouté que les stations d’épuration permettront d’éviter « une pollution de proximité » et répondront « aux inquiétudes des communes du littoral landais et des associations écologistes ».
Equivalente à une eau de baignade, la qualité de l’eau sera notamment obtenue grâce à un traitement bactéricide des effluents, et ce, par le biais de lampes ultraviolets. Le président du Siba a souligné que cette technologie a été innovée par la société Degrémont, filiale du groupe Suez.
A noter que le wharf de La Salie – énorme canalisation sur pilotis basée à quelques kilomètres au sud de l’entrée du bassin et de la dune du Pilat – rejette en moyenne 60.000m3 d’eaux épurées par jour. Les effluents sont directement diffusés dans la mer à 800 mètres des plages.
Le réseau d’assainissement du bassin d’Arcachon, qui compte près de 1.000 kilomètres de canalisations et quatre stations d’épuration, permet à l’heure actuelle de traiter les rejets d’un équivalent de 200.000 habitants.
Situées sur les communes de La Teste-de-Buch et de Biganos, les stations auront pour objectif de traiter les eaux usées – ménagères et industrielles – du réseau d’assainissement des dix communes bordant le bassin d’Arcachon.
D’autre part, Michel Sammarcelli explique que le projet vise à répondre à la « pression urbaine » constatée sur le bassin et à « améliorer la qualité de l’eau » rejetée en bout de chaîne au sud du bassin, sur le littoral aquitain. De son côté, Gilbert Guérin, directeur général du Siba, a ajouté que les stations d’épuration permettront d’éviter « une pollution de proximité » et répondront « aux inquiétudes des communes du littoral landais et des associations écologistes ».
Equivalente à une eau de baignade, la qualité de l’eau sera notamment obtenue grâce à un traitement bactéricide des effluents, et ce, par le biais de lampes ultraviolets. Le président du Siba a souligné que cette technologie a été innovée par la société Degrémont, filiale du groupe Suez.
A noter que le wharf de La Salie – énorme canalisation sur pilotis basée à quelques kilomètres au sud de l’entrée du bassin et de la dune du Pilat – rejette en moyenne 60.000m3 d’eaux épurées par jour. Les effluents sont directement diffusés dans la mer à 800 mètres des plages.
Le réseau d’assainissement du bassin d’Arcachon, qui compte près de 1.000 kilomètres de canalisations et quatre stations d’épuration, permet à l’heure actuelle de traiter les rejets d’un équivalent de 200.000 habitants.
