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Ville métamorphosée par les Jeux Olympiques (JO), Pékin a vu son marché de l’immobilier exploser depuis 2001. La réalisation d’infrastructures sportives, la construction de nouvelles lignes de métro ont permis de dynamiser des territoires autrefois enclavées. Découvrez cette zone à travers le Parc olympique.
Alors que la crise immobilière s’étend à tous les pays, Pékin résiste et connaît même un boom. En effet, les prix ont progressé de 11,4% en 2007 par rapport à l’année d’avant.
Cette envolée des prix correspond à l’attribution des Jeux Olympiques à Pékin en 2001. Et certains quartiers ont profité de la répercussion des chantiers engagés pour les constructions des JO. «L'impact du développement des infrastructures est important pour le marché immobilier», constate le consultant spécialisé Jones Lang LaSalle dans un rapport. Les nouvelles lignes de métro ont notamment permis d’élargir le périmètre de la ville et de développer certains quartiers qui autrefois étaient enclavés.
La moitié des sites où se dérouleront les compétitions ainsi que le village des athlètes, qui attend 10.500 sportifs, sont situés dans une immense zone appelée Parc olympique, au nord de Pékin. Mais certaines épreuves auront lieu hors de la capitale, à Tiaanjin, Shenyang, Shanghai, Quinhangdao (pour les épreuves de voile) ou encore à Hong Kong, où se joueront les compétitions d’équitation.
«JO verts»
Pointé du doigt par certains organismes internationaux, Pékin a souhaité montrer qu’elle faisait des efforts pour devenir une capitale Verte. Pour cela, elle a décidé de placer les JO sous le signe du développement durable. Situés dans le parc olympique, les terrains de hockey et de tir à l’arc couvrant une superficie de 21 hectares, seront transformés en pelouse après l’événement, soit un espace de 100.000 m² qui sera recouvert d’arbres, et pour respecter le concept des JO verts, un système de traitement des eaux usées a été construit afin de recycler l’eau du terrain de tir à l’arc. Dans la même démarche, l’énergie solaire devrait être utilisée pour fournir de l’eau chaude aux salles de bains des athlètes.
En outre, 1.124 panneaux solaires de 120 x 50 cm ont été installés sur le toit du palais national omnisports. L’objectif est de produire 100 kW par jour pour alimenter l’éclairage du sous-sol de ce bâtiment, soit 20.000 m².
Découvrez le village olympique, en cliquant ici
Cette envolée des prix correspond à l’attribution des Jeux Olympiques à Pékin en 2001. Et certains quartiers ont profité de la répercussion des chantiers engagés pour les constructions des JO. «L'impact du développement des infrastructures est important pour le marché immobilier», constate le consultant spécialisé Jones Lang LaSalle dans un rapport. Les nouvelles lignes de métro ont notamment permis d’élargir le périmètre de la ville et de développer certains quartiers qui autrefois étaient enclavés.
La moitié des sites où se dérouleront les compétitions ainsi que le village des athlètes, qui attend 10.500 sportifs, sont situés dans une immense zone appelée Parc olympique, au nord de Pékin. Mais certaines épreuves auront lieu hors de la capitale, à Tiaanjin, Shenyang, Shanghai, Quinhangdao (pour les épreuves de voile) ou encore à Hong Kong, où se joueront les compétitions d’équitation.
«JO verts»
Pointé du doigt par certains organismes internationaux, Pékin a souhaité montrer qu’elle faisait des efforts pour devenir une capitale Verte. Pour cela, elle a décidé de placer les JO sous le signe du développement durable. Situés dans le parc olympique, les terrains de hockey et de tir à l’arc couvrant une superficie de 21 hectares, seront transformés en pelouse après l’événement, soit un espace de 100.000 m² qui sera recouvert d’arbres, et pour respecter le concept des JO verts, un système de traitement des eaux usées a été construit afin de recycler l’eau du terrain de tir à l’arc. Dans la même démarche, l’énergie solaire devrait être utilisée pour fournir de l’eau chaude aux salles de bains des athlètes.
En outre, 1.124 panneaux solaires de 120 x 50 cm ont été installés sur le toit du palais national omnisports. L’objectif est de produire 100 kW par jour pour alimenter l’éclairage du sous-sol de ce bâtiment, soit 20.000 m².
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