Wienerberger, groupe autrichien de matériaux de construction, a annoncé mardi une progression de 8% de son bénéfice net en 2005, à 196,4 millions d’euros contre 181,8 millions en 2004.
Au-delà d’une augmentation de 8% de son bénéfice net, Wienerberger révèle aussi une hausse de son chiffre d’affaires (CA) de 11%, à 1,954 milliard d’euros. Le numéro un mondial de la brique annonce dans la foulée une progression du résultat avant intérêts et taxes (Ebit) de 5%, à 270,3 millions d’euros contre 257,5 millions en 2004. Pour sa part, le résultat brut d’exploitation (Ebitda) a augmenté de 6%, à 428,4 millions d’euros. Cependant, les résultats annoncés ne coïncident pas avec les objectifs du groupe qui tablait sur une hausse plus conséquente mais sont toutefois légèrement supérieurs aux anticipations des analystes.
Wolfang Reithofer, Pdg du groupe, explique les résultats en demi-teinte par un « contexte difficile » en 2005 en raison notamment de la hausse du prix de l’énergie. Et d’ajouter : « les retours sur les projets engagés ces dernières années ont été réjouissants mais nous avons subi un recul de la demande sur les trois marchés importants » que comprennent l’Allemagne, la Pologne et la Hongrie. En effet, un recul de 26,6 millions d’euros de l’Ebitda a été constaté. Toutefois il tient à préciser que ce phénomène a été plus que compensé par une progression des résultats en Belgique, en France, en République Tchèque, en Roumanie, en Slovaquie et aux Etats-Unis.
Wienerberger a par ailleurs souligné qu’il maintiendrait pour 2006 un objectif de croissance de 10% de son résultat par action. Le groupe prévoit également une stabilisation des marchés polonais et hongrois, ainsi qu’une croissance de son activité en Roumanie, en France, en Belgique et en Allemagne.>
Rappelons que pour consolider sa croissance, l’autrichien avait émis à Vienne en avril 2005 300 millions d’euros d’obligations. Un emprunt à court terme de 200 millions d’euros avait par ailleurs été lancé en Belgique en décembre 2005.
Wolfang Reithofer, Pdg du groupe, explique les résultats en demi-teinte par un « contexte difficile » en 2005 en raison notamment de la hausse du prix de l’énergie. Et d’ajouter : « les retours sur les projets engagés ces dernières années ont été réjouissants mais nous avons subi un recul de la demande sur les trois marchés importants » que comprennent l’Allemagne, la Pologne et la Hongrie. En effet, un recul de 26,6 millions d’euros de l’Ebitda a été constaté. Toutefois il tient à préciser que ce phénomène a été plus que compensé par une progression des résultats en Belgique, en France, en République Tchèque, en Roumanie, en Slovaquie et aux Etats-Unis.
Wienerberger a par ailleurs souligné qu’il maintiendrait pour 2006 un objectif de croissance de 10% de son résultat par action. Le groupe prévoit également une stabilisation des marchés polonais et hongrois, ainsi qu’une croissance de son activité en Roumanie, en France, en Belgique et en Allemagne.>
Rappelons que pour consolider sa croissance, l’autrichien avait émis à Vienne en avril 2005 300 millions d’euros d’obligations. Un emprunt à court terme de 200 millions d’euros avait par ailleurs été lancé en Belgique en décembre 2005.
